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26 avril 2008 6 26 /04 /avril /2008 21:47

Une aubaine que ce petit coin Livres chez Chen Jie, une amoureuse de la Chine, sur son blog Paris-Beijing. De quoi parfaire ma connaissance des BD asiatiques (enfin, parfaire... je découvre tout juste...)
Je m'y suis installée quelques temps et j'ai noté pour de futures acquisitions (enfin un futur très relatif comme d'habitude...):






Le pavillon de l'aile ouest de Jiayu Sun, qui serait donc une des plus célébres oeuvres classiques chinoises et peut-être mon premier manhua (BD chinoise) si j'ai l'occasion de le lire.






La voix des fleurs de Natsuki Sumeragi, un manga où se côtoient contes et légendes japonais et chinois.






Hotel Africa, un manhwa (BD coréenne) en trois tomes de Park Hee Jung, que j'ai noté à cause du titre plutôt intrigant et de la mention "inclassable" par Chen Jie (dont j'attends impatiemment le commentaire de ce manhwa sur son blog).
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24 avril 2008 4 24 /04 /avril /2008 13:14

Bon, c'est bien sympa les blogs tout ça, j'ai croisé quelques articles plutôt intéressants sur des titres que j'ai du coup notés sur des bouts de papier, comme c'est ma grande habitude, mais voilà, j'ai du mal maintenant à me souvenir d'où provient quoi, et surtout, si j'ai bien tous les bouts de papier sous les yeux.
Bien dommage que l'on ne puisse pas retrouver nos commentaires en rentrant nos noms sur les blogs, ça m'aurait facilité la tâche!

Aussi maintenant je vais noter ici chaque mois mes récoltes provenant de différents blogs, sites ou du bouche à oreille.





Recommandé par BMR & MAM, un blog que j'aime beaucoup pour son concept, son design, son animation et la qualité de ses articles culturels, Le sommet des dieux de Jirô Taniguchi.






Croisé sur les Carnets de Sel, autre blog compulsant nombre d'articles sur la littérature étrangère, L'éclipse de Keiichirô Hirano - emballée par le descriptif :  "fantastique médiéval par un contemporain japonais".





Samouraï de Takashi Matsuoka - celui-là, c'est Sandrine, ma première visiteuse qui m'en a parlé dans le fil Coups de coeur et ça rentre tout à fait dans le genre de livres plus que susceptibles de me plaire. On se fait des ping-pongs de réponses bloguesques, j'adore! Son blog ICI.





Tombée dessus je ne sais plus par quel intermédiaire (...), Un admirable idiot de Shusaku Endo. Par la suite, en farfouillant sur le net pour en savoir plus, je suis tombée sur Vaovan - littérature asiatique, qui en parle. Bonne source d'inspiration dans le rayon asiatique je trouve.






La magnificence des oiseaux de Barry Hughart, trouvé sur un vieux bout de papier décoloré, avec en note, "Catégorie SF - trilogie- humour - Chine". Là, impossible de retrouver la source de cette note...


Bon, c'est tout pour ce mois-ci...
Tiens, je me rends compte que c'est vraiment très très axé Asie tout ça, je dirais même plus, Japon, lol. Ah ben chuis dans cette période là alors... je ne sais pas quand est-ce que j'en sortirai lol.
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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 23:42
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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 22:30
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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 16:20
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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 14:55
   


APPARTEMENT - TOMES 1 ET 2


Présentation de l'éditeur
"Je m'appelle Koh Hyuk. Célibataire de 29 ans, en recherche d'emploi, je vis seul dans un appartement. Un soir, en regardant par la fenêtre, je m'aperçois que les lumières de plusieurs appartements de l'immeuble d'en face s'éteignent simultanément. Le jour suivant, j'assiste par hasard au même phénomène, au même moment de la soirée : à 21h56 précisément. Depuis, j'observe ce phénomène répétitif et je me suis rendu compte que le nombre d'appartements touchés s'accroît au fil des nuits, toujours à 21h56 pile. Les habitants se comportent tout à fait normalement jusqu'à 21h55, puis leurs visages se figent et ils éteignent tous la lumière en même temps. Comme il y a eu plusieurs décès dans les appartements en question, j'ai essayé d'avertir la police de cette étrange situation, mais personne ne m'a pris au sérieux...
Thriller fantastique en deux parties, dans la lignée de films tels que "Ring" ou "Dark Water", Appartement nous entraîne, à l'aide d'un suspense implacable, jusqu'aux frontières de l'au-delà. "


Biographie de l'auteur
"Né en 1974 à Séoul, Kang Doyoung, dit Kang Full, fait des études de lettres coréennes à l'université Sang Ji. En créant son site Internet pour diffuser ses planches, il devient le dessinateur incontournable de la BD en ligne. Par ailleurs, ses strips les plus politiques sont publiés dans un grand quotidien national et dans des journaux syndicalistes. Son premier succès Manhwa sentimental a été traduit dans les principaux pays asiatiques et adapté au cinéma. Le film "Appartement" est sorti au cinéma en Corée. Kang Full a reçu de nombreux prix tels que le " Prix du manhwa d'aujourd'hui " et le " Prix du personnage d'animation et de manhwa coréens " en 2004."




Mon premier manhwa (BD coréenne)!!! et rien que pour ça, le processus de lecture de l'histoire a été palpitant.

Dès les premières pages, le ton de mystère est donné et s'amplifie à mesure que nous avançons dans l'histoire. Que se passe-t-il dans la Tour de la Chance? L'auteur fait monter le suspense en présentant les événements sous des angles de vue différents, celui des protagonistes de l'histoire, dont nous sommes nous aussi rapidement acteurs en essayant de démêler nous-même ce qui se trame. La tension est à son comble, l'atmosphère même angoissante (j'ai lu ces tomes de nuit et j'avais presque autant de palpitations qu'en regardant "Shining" seule dans le noir...), et l'on ne peut se résoudre à fermer les deux tomes avant d'avoir eu le fin mot de l'histoire.

Mise en scène très efficace de l'auteur, qui fait durer le suspense en revenant régulièrement sur des événements déjà vus mais éclairés par le regard d'autres protagonistes, nous ouvrant ainsi d'autres perspectives. J'ai bien aimé ce montage, même si du coup on a l'impression de tourner en rond et que l'intrigue traîne (il y a près de 750 pages au total quand même). Il y a par ailleurs un petit côté visuel cinématographique plaisant où notre imagination supplémente les scènes en musique de suspense angoissant (TILALILALI!!).

Le style narratif de l'auteur est aussi particulièrement intéressant. Il complète, sous forme d'une narration à la première personne, les paroles des personnages et les événements que l'on visualise déjà, le support étant l'image... Il y a de ce fait un côté répétitif qui rend la lecture un peu laborieuse (enfin je trouve), cependant cela renforce le sentiment de malaise et d'angoisse puisque chaque parole, chaque pensée, est ainsi lourdement surlignée et mise en valeur. C'est particulièrement efficace quand il ne s'agit pas juste d'une retranscription, mais que la narration complète ce qui se passe dans la tête des protagonistes. Ce foisonnement de pensées et de questionnements multiplie l'effet "mystère" de l'histoire.
J'ai bien aimé aussi les petites touches d'humour qui allégeaient l'atmosphère oppressante de cette histoire.

Bref, j'ai trouvé ce manhwa, dénonçant sous forme de thriller fantastique l'individualisme qui sévit dans nos sociétés aujourd'hui, plutôt bien fait et original.
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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 16:42
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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 16:06
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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 14:01

Le meilleur de la littérature africaine du siècle présenté par le Groupe 30 Afrique.
Ca tombe bien! J'aimerais bien, cette année, explorer un peu plus cette littérature et j'en ai lu quasi zéro de cette liste!
Allez, j'essaie d'en lire au moins 5 cette année! Mmmh... reste à savoir lesquels...


AUTEURS  PAYS  ŒUVRES 
Boubacar Boris Diop  Sénégal  Murambi ou le livre des ossements 
Chinua Achebe  Nigéria  Le monde s’effondre 
Ata Aidoo Ama  Ghana  Anowa 
Germano de Almeida  Cap Vert  Le testament de Nepomuceno 
Ayi Kwei Armah  Ghana  The beautyful Ones are not yet born 
Amadou Hampâté Ba  Mali  L’étrange destin de Wangrin 
Mariama Bâ  Sénégal  Une si longue lettre 
Tahar Ben Jelloun  Maroc  La nuit sacrée 
Mongo Béti  Cameroun  Le pauvre Christ de Bomba 
André Brink  Afrique du Sud  A dry white season 
Ken Bugul  Sénégal  Riwan 
Syl Cheney Coker  Sierra Leone  The last harmattan of Alusine Dunbar 
Driss Chraïbi  Maroc  Le passé simple 
J. M. Coetzee  Afrique du Sud  Life and Times of Michael K 
Mia Couto  Mozambique  Terra Sonâmbula 
Bernard Dadié  Côte d’Ivoire  Climbié 
Tsitsi Dangarembga  Zimbabwé  Nervous conditions 
Mohamed Dib  Algérie  La grande maison, l’incendie, le métier à tisser 
Birago Diop  Sénégal  Les contes d’Amadou Koumba 
Assia Djebar  Algérie  L’Amour la Fantaisie 
Abdell Rahman El Adnoody  Egypte  Death of the Asphalt 
Nawal El Saadawi  Egytpe  Woman at point zero 
Buchi Emecheta  Nigéria  The Joys of Motherhood 
Nuruddin Farah  Somalie  Maps 
Athol Fugard  Afrique du Sud  The blood knot 
Nadine Gordimer  Afrique du Sud  Burgher’s daughter 
Bessie Head  Afrique du Sud  A question of power 
Cheikh Anta Diop  Sénégal  Antériorité des civilisations nègres 
Tierno Monenembo  Guinée  Un attiéké pour Elgass 
Vusamazulu Credo Mutwa  Afrique du Sud  Indaba, my Children 
Djibril Tamsir Niane  Sénégal  Soundjata ou l’épopée mandingue 
Christopher Okigbo  Nigéria  Labyrinths 
Ben Okri  Nigéria  The Famished Road 
Ferninand Oyono  Caméroun  Le vieux nègre et la médaille 
Alan Paton  Afrique du Sud  Cry the Beloved Country 
Okot P’Britek  Ouganda  Song of  Lawino 
El Tayed  Salih  Soudan  Season of Migration to the north 
Williams Sassine  Guinée  Le jeune homme du sable 
Ousmane Sembène  Sénégal  Les Bouts de Bois de Dieu 
Léopold Sédar Senghor  Sénégal  Œuvre poétique 
Mongane Serote  Afrique du Sud  Third World Express 
Labou Tansi Sony  Congo  La vie et demie 
Aminata Sow Fall  Sénégal  La Grève des Battus 
Wole Soyinka  Nigéria  Death and the King’s Horsemen 
U Tam’si Tchicaya  Congo Le  Mauvais sang, Feu de brousse 
Amos Tituola  Nigéria  The Palm-wine Drinkard 
Yvonne Vera  Zimbabwe  Butterfly Burning 
Luandino Vieira  Angola  Nos os de Makulusu 
Wa thiong’o Ngugi  Kenya  A Grain of Wheat 
Kateb Yacine  Algérie  Nedjma 
Samir Amin  Egypte  Accumulation on a World Scale 
Ifi Amadiume  Nigéria  Male Daugthers Female Husbands 
Anthony Appiah  Ghana  In My Father’s House 
Amilcar Cabral  Guinée Bissau  Unity and Struggle 
J.E Casely Hayford  Ghana  Ethiopia Unbound 
Rocha Chimera  Kenya  Kiswahili, Past, Présent and Future  Horizons 
Efua Doorkenoo  Ghana  Cutting the Rose 
Paulin Hountondji  Benin  Sur la philosophie africaine 
Samuel Johnson  Nigéria  The History of the Yorubas 
Jomo Kenyatta  Nigéria  Facing Mount Kenya 
Joseph Li-Zerbo  Burkina Faso  Histoire de l’Afrique noire 
Antjie Krog  Afrique du Sud  Country of my Skull 
Amina Mama  Nigéria  Beyond the Mask, Race, Gender and Identy 
Mahmood Mamdani  Ouganda  Citizen and Subject 
Nelson Mandela  Afrique du Sud  Long Walk to Freedom 
Eduardo Mondlane  Mozambique  The Struggle for Mozambique 
Ezekiel Mphahlele  Afrique du Sud  Down Second Avenue 
V.Y. Mudimbe  Congo  The Invention of Africa 
Kwame Krumah  Ghana  Ghana : Autobiography of Kwame Nkrumah 
Sol Plaatje  Afrique du Sud  Native Life in South Africa 
Wole Soyinka  Nigéria  Ake : The Years of Childhood 
Charles Van Onselen  Afrique du Sud  The Seed is Mine 


Source : http://group30afrique.ifrance.com/les_meilleurs_romans_africains_d.htm
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 22:22



THE COLLECTOR

( L'OBSEDE )
(également traduit en français sous L'AMATEUR )


Voici une histoire terriblement tragique et diaboliquement réaliste, à la lecture de laquelle on ressent colère, tourment et frustration tellement la situation est insupportable et qu'on voudrait qu'elle cesse, mais pour qu'elle cesse il faudrait qu'on arrête de la lire, et cela n'est tout simplement pas une option.

L'histoire en quelques mots: un banal employé de bureau fait un jour de son rêve une réalité en séquestrant dans une maison isolée une jeune fille, étudiante aux Beaux-Arts, qui obsède ses pensées. Il est convaincu de son amour pour elle et voit dans cet acte infâme l'unique solution pour qu'elle apprenne à le connaître et l'aime à son tour.

L'intrigue est habilement menée, l'auteur nous présente tour à tour le point de vue des deux protagonistes, le kidnappeur, "Caliban" (personnage monstrueux et vil de La Tempête de Shakespeare), comme le surnomme sa prisonnière,  totalement inconscient de sa folie et du mal qu'il fait, et sa captive, Miranda, ou plutôt son "invitée" comme il la considère, animée par l'espoir de sortir de là.
L'auteur dépeint de manière très réaliste et puissante le portrait psychologique de ses personnages, ce qu'ils vivent, ce qu'ils ressentent dans leur isolement et leur confrontation quotidiennes, et s'il y a des relans de Misery dans la situation, l'horreur ici va bien au-delà de ce que Stephen King maîtrise dans la fiction, et réside justement dans le fait qu'on a la conviction très vive que cette situation ne relève pas seulement de l'imaginaire (comment j'ai souffert en ressentant le désespoir de Miranda par moments, son besoin de voir la lumière, de respirer l'air frais...), et que les "Calibans", tels que présenté dans ce roman, existent réellement.

Best-seller mondial, ce premier roman de John Fowles a été adapté au cinéma en 1965.
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