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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 12:48
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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 12:15
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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 12:14



COCAINE BLUES

( COCAÏNE ET TRALALA )


Présentation de l'éditeur
"Au cœur des Années folles, Phryne Fisher, jeune aristocrate anglaise au caractère bien trempé, n'en fait qu'à sa tête ! Intrépide, exubérante et d'une élégance sans égale, cette "garçonne" ne craint qu'une chose : l'ennui. Aussi, quand on lui propose de partir en Australie à la recherche d'une riche héritière menacée, y voit-elle l'occasion inespérée de fuir les fastidieuses soirées londoniennes. Sans une hésitation, la voilà en route, mais dès sa descente de bateau l'attendent faiseurs d'anges, trafiquants de drogue et communistes exaltés... Toute l'aventure et le danger dont elle rêvait ! De cocktails chic en courses-poursuites haletantes, Phryne Fisher mènera sa première enquête tambour battant, pour le plus grand péril des bandits et des cœurs."



L'auteure
Kerry Greenwood est née à Melbourne, en Australie, où elle vit toujours. Elle est l'auteur d'une vingtaine de romans - dont la série des aventures de Phryne Fisher, commencée en 1989 avec Cocaïne et tralala, et qui compte aujourd'hui quinze tomes -, de plusieurs pièces de théâtre et d'un essai. Kerry Greenwood est avocate à la Commission d'aide, juridique de Melbourne.



Alléchée par le tralala du titre français plus que par la cocaïne qui laissait présager d'une enquête dans le milieu des trafiquants de drogue (vraiment pas mon thème de prédilection), séduite par la couverture des éditions 10/18 qui en font une présentation plutôt attrayante, enthousiasmée à l'idée de découvrir un polar à la sauce australienne et convaincue par les billets enthousiastes de Nag, Midola et Tiphanya qui l'ont lu dans le cadre du défi "Littérature policière sur les 5 continents", me voilà à mon tour embarquée dans ce roman en compagnie de la peu banale et élégante Phryne Fisher.

Bon j'étais prévenue et je le confirme, l'intrigue est sans grande surprise, c'est d'ailleurs une des rares fois où j'ai deviné assez vite les tenants et les aboutissants de l'histoire. Par ailleurs, les intrigues autour de la coke ne me passionnant pas vraiment, je savais que je n'allais pas adhérer facilement à cette thématique du récit, cela dit, l'intérêt de ce roman - et, j'imagine, de cette série dans son ensemble - n'est pas dans son intrigue mais dans l'univers de Phryne Fisher, femme mondaine des années 20 issue de l'aristocratie anglaise, qui s'adonne à la palpitante occupation de jouer au détective pour tromper son ennui.

C'est l'occasion pour l'auteure, Kerry Greenwood, de faire revivre sous sa plume cette époque colorée et mouvementée des Années folles. Phryne Fisher, à Melbourne pour cette enquête, va y croiser toute une galerie de personnages issus de différents milieux sociaux et de différents pays, l'auteure retranscrit à merveille leurs accents, leur mode de vie, les moeurs et les préoccupations de l'époque, Paris est une référence de la haute couture et un passage obligé pour qui veut briller en société - le nombre d'expressions idiomatiques françaises utilisées dans le texte m'a pas mal impressionnée, ce qui me laisse penser que l'auteure doit avoir une bonne connaissance de notre langue - c'est les années Charleston, et entre un Foxtrot et un tango, Phryne Fisher, toute de raffinement vêtue, nous extirpe parfois de la superficialité de son milieu pour nous divertir dans des contrées moins glamour et sophistiquées, ce qui, au final, nous donne un tableau très vivant et expressif de l'Australie et de l'Europe de cette période.

Les femmes ont encore du mal à se faire leur place dans cette société dominée par les hommes - dans le milieu médical par exemple, infirmière oui, femme médecin, la bonne blague, idem dans le corps de police, peu de femmes votent encore, le port du pantalon n'est pas pratique courante, etc - et Phryne Fisher fait partie de celles qui s'affirment, c'est une femme émancipée, indépendante, aux moeurs sexuelles très libérées, perspicace avec ça, qui sait aussi bien danser (superbement, sinon c'est pas drôle) que se battre (apparemment elle a eu plein de bons professeurs à Paris ), elle ne présente aucun défaut majeur, ce que j'ai trouvé un peu dommage car un personnage trop lisse, trop parfait, perd de ce qui en fait un humain attachant, mais en même temps, ce n'est pas agaçant, c'est un peu gros mais on se dit "pourquoi pas?", ça colle bien au côté excentrique du personnage finalement.

C'est un beau voyage dans le temps et c'est vrai qu'une dame de la haute qui mène l'enquête, c'est peu banal.
C'est même amusant, sympathique, rafraîchissant, le contexte est franchement original et tout et tout, cela dit, je ne suis pas sûre d'en lire d'autres car côté polars et thrillers, il me faut quand même des intrigues plus solides, consistantes et plus palpitantes.
C'est aussi, à mon avis, le genre de romans qui plaira principalement au lectorat féminin, limite je me demande si la série ne leur est pas destinée, je ne suis pas persuadée que les hommes y trouvent leur compte, quoique je serais curieuse d'avoir leur avis dessus.


Dernier mot sur Poisoned Pen Press, la maison d'édition de la parution originale, je trouve leur nom excellent et leur collection a l'air toute aussi sympathique que ce roman de Kerry Greenwood.



Lu dans le cadre du deuxième tour du défi  
(DAL 2 - 3 / reste 04 )

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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 18:04
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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 18:02



KARI

J'ai l'honneur de présenter ma seule et unique acquisition au Salon du livre à Paris cette année! (ouioui, il y a bien une certaine fierté dans cet exploit car je sais que nombre de gens sont repartis du salon les bras chargés, voire les valises chargées - il y a des preuves en image sur la blogosphère ).

C'est le hasard qui m'a mise sur le chemin de cette auteure de BD indienne, Amruta Patil, qui faisait des dédicaces sur le stand des éditions Au Diable Vauvert.
Un roman graphique indien? Intéressant je me suis dit alors, ça manquait dans ma bibliothèque! Si je commence maintenant à être bien familiarisée avec les BD françaises, américaines, et leurs pendants asiatiques côté Japon et Corée, j'avoue que je n'avais aucune idée de ce que pouvait donner un roman graphique made in India, et j'étais à la fois terriblement curieuse et assez méfiante.

Déjà la couverture ne m'inspirait pas trop, cette tête un peu antipathique au regard vampiro-diabolique qui ne présage rien de bon, en gros plan comme ça, sans rien d'autres pour alimenter mon imagination, bon déjà ça va pas être une histoire rigolote que je me dis alors... Mais en même temps, de ne pas savoir quoi en penser, j'étais très intriguée. Qu'est ce qui se cachait derrière ce personnage, une Lisbeth indienne? De quoi pouvait traiter ce récit?

Rapide coup d'oeil à la présentation de l'éditeur:

"Elles étaient inséparables... Jusqu'au jour où elles ont fait ensemble le grand saut. Sauvée par un filet de sécurité, Ruth quitte la ville. Sauvée par les égouts, Kari se fond dans la mêlée urbaine. Accompagnée par les voix d'Angel, de Lazarus et des filles du Crystal Palace, qui forment le chœur de sa chanson intérieure, elle sonde le cœur meurtri de Smog City, s'acoquine avec la solitude, le cloaque, le succès inopiné, la mort, et s'abandonne au souvenir de l'Autre, disparue.
Illustrations sensuelles et commentaires grinçants sur la vie et l'amour: Kari donne une nouvelle identité au roman graphique made in India."



J'avoue, j'avais beau lire et relire cette présentation, je n'étais toujours pas plus avancée et je n'arrivais pas à cerner de quoi pouvait parler le livre. Pire même, ça me semblait encore plus inquiétant que la couverture! Cette fois j'imaginais un truc très sombre, voire même déprimant, un truc un peu fantastique, à la Sin City, une histoire des grandes villes dans des ambiances glauques... Smog City... brrrr....


Mais non en fait, rien de tout cela, ce roman graphique est au final une très belle surprise et une chouette découverte.
Kari est une jeune femme quelque peu singulière certes, inquiétante au premier abord, mais relativement "normale" (non c'est important ça parce que vraiment j'imaginais une junkie particulièrement zarbie ), voire même sympathique et touchante (ce que je n'aurais jamais cru comme ça...). Elle mène une vie relativement ordinaire (rien de l'univers fantastique que j'imaginais) à Smog City, alias Bombay (on présume), travaille dans une agence de pub et vit en colocation avec deux autres femmes et leurs amants.

Cynique de nature, rebelle sur les bords, observatrice et sensible à ce qui l'entoure, son quotidien et ses rencontres l'amènent à diverses réflexions lucides et légèrement grinçantes sur la vie, l'amour et la mort (j'ai particulièrement aimé sa rencontre avec cette femme malade d'un cancer et l'évolution de leur relation). Un peu comme beaucoup de gens de sa génération, elle est à la recherche d'elle-même, "lost in translation" dans une société qui part un peu à la dérive, surtout depuis qu'elle a perdu celle qu'elle aime et qui était son modèle.

C'est un récit qui illustre des thèmes de notre époque, ancré dans une réalité identifiable, le ton est résolument moderne, le style très contemporain, ça m'a assez étonnée en fin de compte mais beaucoup plu.

Pour en revenir au graphisme, c'est vrai que la couverture ne m'inspirait pas, j'imaginais des dessins angulaires, un peu secs, mais BUUUZZZZ!, encore tout faux, Amruta Patil a un coup de crayon créatif et esthétique et mêle parfois des couleurs chaleureuses à une dominante de noir et blanc. L'ensemble est original et assez inattendu par moments.


J'ai découvert aussi qu'Amruta Patil avait étudié avec l'excellent Nicolas Wild aux Etats-Unis, ce dernier lui fait d'ailleurs une chouette promo ICI !


L'auteure
Amruta Patil est auteure et illustratrice diplômée de l'école du musée des Beaux-Arts de Boston, où elle a obtenu une maîtrise d'art (Master of Fine Arts). Elle prépare un roman graphique fondé sur une épopée conjuguant mythe et histoire.
A voir également:
le blog d'Amruta Patil.


Et pour finir, la chouette dédicace qu'elle m'a faite au salon du livre. C'était vraiment impressionnant de la voir dessiner en live! (bon ça s'est un peu estompé... le fusain...)


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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 00:21
Non ce n'est pas le titre d'un nouveau livre au rayon chick lit  mais une de mes expériences mémorables de ce week-end merveilleusement ensoleillé: l'accrobranche.

Pourquoi aller batifoler dans les airs quand on peut profiter de la piscine ou d'un massage californien?
C'est que je me suis dit en me retrouvant sur la plateforme du premier arbre, bien en hauteur, déjà accrochée au câble et n'ayant pas d'autres choix que d'avancer sur la corde dans le vide, encadrée par mes deux acolytes que j'avais entraînés dans l'aventure, hyper motivée au début, genre ouaaiiis trop facile, ça a l'air trop génial, allez, on fait!!!!!

C'est vrai que quand on voit ça...

                  


... on ne se rend pas bien compte, on se demande même pourquoi certains tremblotent et mettent autant de temps à faire leur traversée...
J'avais déjà oublié la peur bleue que j'avais eue au Vietnam quand il a fallu traverser une rivière sauvage sur un pont en liane et planches moyen stable, assez haut de surcroît!

Je me fais grâce du récit de ce calvaire d'1h15 en quatorze étapes où je n'arrêtais pas de gueuler comme une charretière en insultant cordes, planches, lianes, rondins de bois et arbres, tout en me maudissant de m'être embarquée dans le truc, sous les rires hilares de mes compagnons qui m'ont quand même bien encouragée pendant ce parcours où j'essayais de m'imaginer, pour me motiver, que j'étais dans la jungle et qu'il y avait plein de bêtes sauvages qui nous attendaient en bas, et que je n'avais pas d'autres choix que de traverser la forêt ainsi, et je dirai juste, JE L'AI FAIT, je suis allée jusqu'au bout en terminant par une tyrolienne (ça c'était chouette!)!!!! Yeah!

Mais, je retiens quand même, moi qui aime les trucs à sensations, qu'à ma grande surprise, je n'étais vraiment pas aussi à l'aise que j'aurais pensé l'être (quand je pense que j'ai encore en projet de faire du parachute, du saut à l'élastique et du delta-plane ).

Et maintenant, retour aux livres, ça donne quand même moins le vertige et c'est moins dangereux (quoique... ).

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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 00:07





Le projet détente/vadrouille ne durera que le temps de ce week-end prolongé mais cette pause bienvenue où ni lecture ni accès au net ne sont prévus au programme devrait me couper un peu de la blogosphère encore quelques jours après mon retour (je me connais bien ).

Ce sera donc calme par ici mais je laisse les clés de ma bib' à l'entrée, n'hésitez pas à farfouiller sur les étagères pendant mon absence et à laisser trace de votre passage.

A bientôt!














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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 13:01
Non... pas pu... malgré mes bonnes résolutions de m'en tenir à ma PAL et aux différents challenges qui m'occupent déjà pas mal, malgré le fait que rajouter des titres à ma LAL ne sert presque plus à rien dans la mesure où, à tout noter, on ne distingue finalement plus rien...

Cela dit, quatre livres lus sur sept sélectionnés sur ma LAL lors de ma dernière cueillette de janvier, c'est quand même pas mal, et j'ai par ailleurs pu savourer entre-temps quelques livres de mes cueillettes antérieures, aussi c'est l'esprit relativement serein que je me permets aujourd'hui de faire étalage de mes dernières sélections LAL, celles dont je n'aimerais vraiment pas perdre la trace et que j'espère lire prochainement!





La taverne du doge Loredan d'Alberto Ongaro, chaudement recommandé par Edwood après mon coup de coeur pour El Ultimo Lector de David Toscana. Il a éveillé moins d'enthousiasme chez Géraldine mais justement les raisons pour lesquelles elle n'a pas accroché me laisse penser que ça pourrait me plaire!





Déjanté de Hugo Hamilton, repéré chez Keisha, un polar irlandais qui pourrait bien me plaire, le titre en tout cas m'emballe terriblement! Enfin, de cet auteur ce sera Déjanté ou Triste flic également commenté par Keisha avec un enthousiasme convaincant, elle a d'ailleurs été in-ca-pable de m'orienter sur l'un ou l'autre.




La peau froide d'Albert Sanchez Piñol, recommandé par Liliba et qui semble faire l'unanimité. De cet auteur ce sera ce titre ou Pandore au Congo, également commenté par Liliba et dont le sujet me parlait plus.




Le coeur cousu de Carole Martinez, repéré chez Karine:) dont l'enthousiasme est contagieux, et dont j'ai pu remarquer depuis qu'il faisait l'unanimité sur la blogosphère. Le fait que je n'arrive pas à mettre la main dessus à la bib' car il est systématiquement emprunté me laisse penser que ça doit être vraiment un bon cru! Vivement!

EDIT 19/09/09: lu les 3 premières pages + quelques feuilletages plus loin et j'ai abandonné - pas l'impression que ce soit mon style de livre...




La chanson du jardinier de Kalpana Swaminathan, un polar indien repéré chez Keisha (très dangereux pour ma LAL les promenades chez Keisha ). Jamais lu de polar indien moi, en plus cette série a l'air bien sympathique, deux raisons pour le rajouter à ma LAL!
EDIT 12/05/2011 J'ai finalement opté pour Saveurs assassines du même auteur, pour faire les choses dans l'ordre, ce roman étant le premier de la série des enquêtes de Miss Lalli (La chanson du jardinier est le deuxième).





Chants d'adieu d'Oriza Hirata, du théâtre japonais repéré chez Catherine dont j'aime beaucoup les lectures parfois insolites. Je ne suis pas très théâtre en lecture mais je dois dire que son billet a attisé ma curiosité. Très tentée également par le titre Gens de Séoul du même auteur.




La vie devant soi de Romain Gary, un auteur incontournable dont je n'ai encore rien lu (hé oui!), c'est le billet de Marie qui m'a fait réaliser qu'il était temps que je comble cette lacune. Très possiblement un livre que je vais intégrer à ma liste du défi Blog-o-trésor, une de mes sélections ne me tentant plus (ça ou/et Voyage au bout de la nuit de Céline dont j'ai repéré récemment la présence dans la méga-liste)





Darling Jim de Christian Mørk, cueillette toute fraîche, repéré chez Ys, et qui semble promettre un très bon moment de lecture. L'originalité de l'intrigue, qui commence par la fin, ne pouvait que me séduire en plus après mon expérience de lecture très positive avec La comédie des menteurs de David Ellis.




Robe de marié de Pierre Lemaitre ne m'aurait pas attirée comme ça si je l'avais aperçu en librairie ou à la bib', mais le commentaire très enthousiaste de Pimprenelle m'a intriguée (je suis très sensible aux commentaires très enthousiastes ), surtout qu'à la base elle n'est pas spécialement fan de polar (hé oui, encore un polar, c'est fou ce qu'ils m'attirent cette année).




Oscar Wilde and the Candlelight Murders de Gyles Brandeth, en français Oscar Wilde et le meurtre aux chandelles, un titre irrésistible mis en avant par toutes les bib' parisiennes en ce moment, je ne vais pas résister longtemps...





Blonde Roots de Bernardine Evaristo, repéré en librairie tout récemment, je n'ai pas craqué ce jour-là mais je sens que ça ne va pas durer longtemps!... Le thème me parle beaucoup et je suis assez curieuse de voir comment l'auteure le développe.





Japan Ai, 3 copines au Japon de Aimée Major Steinberger, titre irrésistible, couverture irrésistible, dessins irrésistibles (j'ai feuilleté), j'ai réussi malgré tout à résister en librairie mais à mon prochain passage, je sens que c'est pour ma pomme - enfin mon porte-monnaie!


Voilà pour cette fois-ci, bon je pense qu'il n'y aura pas d'autres cueillettes avant la fin de l'année (que je crois! ), celle-ci devrait déjà pouvoir satisfaire mes fringales côté lecture d'ici là!
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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 13:33



Taguée par Géraldine qui traque mes réponses alors voilà, des fois c'est par 4, des fois c'est par 3, des fois c'est par plus!


Quatre jobs que j'aurais aimé exercer:
Chef d'orchestre, aventurière/exploratrice, dessinatrice de BD, spationaute (mais aujourd'hui je pourrais me contenter de cobaye pour aller dans l'espace ).

Quatre films que je connais par coeur:
La folie des grandeurs, Rabbi Jacob, In the Bleak Midwinter, les Disney

Quatre livres préférés
Notre-Dame de Paris (Victor Hugo), Gone with the Wind (Margaret Mitchell), Ender's Game (Orson Scott Card), Shogun (James Clavell)

Quatre émissions ou séries
Friends, Coupling (Six Sexy), Prison Break, Field dans ta chambre (une émission que je regrette fort!)

Quatre endroits où j'aime passer les vacances
Du moment que c'est des vacances...
La mer, l'Espagne, des lieux imprévus et inattendus, loin

Quatre webs que je visite quotidiennement
Les mails, les blogs, un peu de tout, what else?

Quatre plats que je ne mangerai jamais
Jamais si j'avais le choix, càd, hors circonstances genre, perdue dans la jungle, sur une île déserte, dernière survivante d'un accident au fin fond du monde!
- des vers et assimilés (asticots etc), de la chair humaine, de la terre (j'ai vu une terrible émission où les Haïtiens faisaient des galettes de boue pour survivre à la famine!!).

Quatre plats que j'adore
Sachant que ça change au fur et à mesure de mes nouvelles découvertes culinaires, car comme avec les livres, j'adore voyager à travers les plats, actuellement je suis en mode:
- chicken tandoori et cheese nan (je ne m'en lasse pas), tamales (plat péruvien à tomber), grande salade du sud-ouest (avec gésiers et compagnie), enfin, salade... je rigole toute seule là, les brochettes boeuf/fromage, et sinon les indémodables, c'est les plats de ma grand-mère et tout ce qui est  poissons et fruits de mer (sauf huîtres).

Quatre endroits où j'aimerais être en ce moment
Sur une autre planète, au Japon, en Australie, ou plus réaliste, dans l'immédiat, au bord de la mer (cocotiers même pas obligatoire!) - allô, le centre de téléportation?

Quatre personnalités actuelles ou du passé que j'aimerais rencontrer
Haruki Murakami, Mère Thérésa, Jet Li, et... euh... un sage dans les montagnes loin là-bas.

Quatre voeux pour l'année prochaine
Santé, bonheur, prospérité, bonne année!:)

Quatre centres d'intérêt ou d'activité
Lecture, voyages, arts martiaux, danse


La main à ceux que ça inspire!

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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 14:34
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