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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:22



JOCONDE JUSQU'A 100


Comme je viens de me procurer à la bib' Da Vinci Code de Dan Brown, il m'est revenu en mémoire ce titre et cet auteur dont on m'avait parlé y a pas longtemps pour l'humour ravageur. Je l'ai pas encore lu, juste feuilleté à la Fnac, et maintenant que j'm'y connais en OULIPO, en y repensant je m'étais dit : "mais en voilà un auteur qui pourrait en faire partie!!" J'ai vérifié et bingo! il est dans la liste!
 
Pour le thème, c'est 99 + 1 points de vue sur Mona Lisa.
 
ou encore : http://perso.wanadoo.fr/calounet/extraits/joconde_letellier.htm (très bon site d'une connaissance au passage)


(commenté le 27/08/2004)
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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 17:34
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POLITICALLY CORRECT BEDTIME STORIES
 
( POLITIQUEMENT CORRECT . CONTES D AUTREFOIS POUR LECTEURS D'AUJOURD'HUI )
 
( CUENTOS INFANTILES POLITICAMENTE CORRECTOS )

 
Drôles et originaux, les contes d'autrefois réécrits et adaptés à notre époque, dans un langage et un style qui font la vie dure aux préjugés d'antan, tels les préjugés sexistes et autres.
 
 
Quelques exemples du traitement subi par ces contes:
 
Dans Blanche-Neige, nous découvrons sa vraie nature et celle des sept hommes à la verticalité contrarié.
 
Extaits de Cendrillon :
"Un jour, elles reçurent une invitation: le prince fêtait son exploitation de la paysannerie dépossédée et marginalisée en donnant un bal."
La marraine à Cendrillon: "Alors comme ça on veut aller au bal, hein? Et se parer en acceptant aveuglément le concept de la beauté imposée par le mâle? On veut se boudiner le corps dans une robe trop serrée qui bloque la circulation? Se matyriser les pieds dans des chaussures à talons hauts qui nuisent à l'ossature, et se peinturlurer le visage avec des produits chimiques et des cosmétiques testés sur des animaux non humains?" "- Hé ben oui!"
etc, etc...


(commenté le 16/01/2005)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 23:08

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MR FOREIGNER
 
( CAUCHEMAR NIPPON )
 
 
Un livre sur lequel je me suis précipitée car j'avais déjà fait une très belle expérience avec English Passengers, le style de l'auteur m'avait déjà convaincu, et le thème de celui-là me parlait vraiment (confrontation de deux cultures qui me parlent particulièrement : anglaise et japonaise).
 
L'histoire : Daniel Thayne est un de ces aventuriers modernes qui parcourent le monde sac au dos. A Tokyo, il enseigne l'anglais de façon illégale, pour un salaire de misère, n'ayant pas de permis de travail, ni le certificat requis, ceci histoire de se faire un peu d'argent pour survivre sur place et se payer son prochain voyage. Manque de pot, un jour il perd son passeport, et se retrouve cerner par la famille Harada dont il fréquente la fille. Le voilà piégé au coeur d'un pays et d'une culture qu'il a dû mal à appréhender. C'est le début du cauchemar...
 
C'est un petit roman plutôt divertissant mais sans plus. Le côté cauchemardesque de la situation est très bien rendu, on tremble pour Daniel, on se demande comment il va se sortir du pétrin. En même temps, l'auteur y décrit une facette des japonais d'un point de vue qui est loin de leur faire honneur, et ça m'a un peu dérangé ce parti pris. Mais quelque part, ça ressemble aussi a du vécu, alors...
English Passengers le dépasse de loin en qualité en tout cas.


(commenté le 23/05/2005)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 21:58

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DON'T READ THIS BOOK IF YOU'RE STUPID

( NE LISEZ PAS CE LIVRE SI VOUS ÊTES STUPIDE )

 
Série de nouvelles humoristiques sur des trentenaires insatisfaits de leur vie. C'est drôle, distrayant, amusant, en particulier la première nouvelle, mais on se lasse vite, moi en particulier car j'accroche mal avec les nouvelles, et le tout n'est pas à la hauteur du titre très alléchant et prometteur (à mon humble avis).


(commenté le 01/12/2003)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 18:35

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INTERDIT

 
A 70 ans, Saül Weissmann, qui a toujours vécu dans la conviction de sa religion et de sa culture, apprend du rabbin qui devait le marier, que selon la loi juive, il n’est pas juif… S’ensuit alors une introspection de cet homme sur son identité, double du coup, et une lutte sans merci contre le non-juif qui vient de surgir en lui, tout ceci sur fond d’humour… juif (?).

L’idée est originale, l’humour au rendez-vous, mais je m’attendais à ce que ce soit nettement plus hilarant, du coup j’ai trouvé ça bien sans plus, parfois même exagéré et prévisible dans l’humour, un peu comme dans un sketch, sympa et divertissant en tout cas.


(commenté le 11/07/2004)

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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 18:16

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LORSQUE J'ETAIS UNE OEUVRE D'ART

 
Bon moment de détente, beaucoup d'humour et de dérision ici, ça m'a frappé parce que les autres Schmitt que j'avais lus et plutôt appréciés (Oscar et la dame rose, L'évangile selon Pilate) ne m'avaient pas marqué aussi fort dans l'humour, mais je les ai lus il y a longtemps aussi...
 
Bref, l'histoire d'un homme souhaitant mettre fin à ses jours parce qu'il ne supporte plus son apparence, qui tombe entre les griffes d'un "artiste" peu scrupuleux, plus soucieux du succès que de l'Art, lequel artiste fait de ce pauvre homme un objet, une oeuvre d'art à ses yeux et aux yeux du monde.
 
La première moitié du livre est vraiment pas mal, drôle, divertissante et puis ça dérape vite dans le routinier, la longueur, mais dans l'ensemble ça reste sympa.


(commenté le 22/05/2004)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 16:34

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JE VOUDRAIS QUE QUELQU'UN M'ATTENDE QUELQUE PART


Pas mal du tout dans le genre. Je dis pas mal parce que j'accroche moyennement (voire, pas du tout) avec les nouvelles généralement, or là j'avais bien aimé son style. Faudrait que je la relise (encore une!) pour être plus précise mais je me souviens d'une lecture plutôt agréable et même de moments de rire à la lecture de quelques-unes de ces nouvelles.


(commenté le 26/08/2004)

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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 16:29

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MON DERNIER CHEVEU NOIR
           AVEC QUELQUES CONSEILS AUX ANCIENS JEUNES
 
 
Présentation de l'éditeur
"Je regarde une vieille photo. J'étais pas mal, avant.
Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ?
Peut-être parce que c'est l'hiver ? Si vous passez l'hiver, vous verrez : l'été, c'est pareil. Vous savez comment on s'aperçoit qu'on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche. "

Biographie de l'auteur
"Auteur de nombreux livres à succès dont Il a jamais tué personne mon papa et Grammaire française et impertinente, Jean-Louis Fournier a publié aux éditions Anne Carrière Les Mots des riches, les mots des pauvres."
 
 
J'ai beaucoup aimé le regard de cet homme sur tous ceux qui ont dépassé le cap des 60 ans. Beaucoup d'humour et d'autodérision sur le fléau de la vieillesse, sous forme de réflexions, d'anecdotes et de conseils.
 
 
Quelques extraits :
"Jusqu'à cinquante ans, j'ai toujours dit mon âge. Après, je suis devenu un peu plus flou.
Faut-il dire son âge?
Oui. Il n'y a pas de honte. C'est pas votre faute si vous êtes vieux.
[...] Quiite à mentir sur votre âge, au lieu de vous rajeunir, vieillissez-vous. Profitez de ce que vous êtes encore un peu jeune pour dire que vous êtes déjà vieux.
Quand vous serz vraiment vieux, ce ne sera plus la pein de le dire.
Ca se verra."
 
 
"Epicure a dit : "Ne craignez pas la mort, quand elle sera là, vous ne serez plus là." Mais la vieillesse, quand elle sera là, on sera encore là."
 
 
"Maintenant que vous aimez moins bouger, maintenant que vous ne dormez bien que dans votre propre lit, maintenant que vous n'avez plus besoin ni envie d'aller nulle part, vous pouvez aller partout pour presque rien.
Vous avez droit à une carte de réduction.
C'est votre dernière carte.
La SNCF lui a donné un nom latin, elle l'a appelée "carte Senior".
Trouillarde, elle n'a pas osé l'appeler "carte Vieux".
Et un peu sadique, elle exige, sans doute pour mesurer l'étendue des dégâts, collée en évidence sur la carte, une photographie de vous, récente."


(commenté le 03/12/2006)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 16:20

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LA SIESTE ASSASSINEE
 
Série de petites réflexions sur des aspects de la vie quotidienne.
Sympa et divertissant sans plus, parfois amusant.
 
Un extrait pour donner un avant-goût de ce qui vous attend (tiré de la 4è pagede couv'):
 
"Mais la minute qui compte, c'est tout à la fin. Les gestes se sont ralentis, le coiffeur vous a délivré du tablier de nylon, qu'il a secoué d'un seul coup, dompteur fouetteur infaillible. Avec une brosse douce, il vous a débarrassé des derniers poils superflus. Et l'instant redouté arrive. Le coiffeur s'est rapproché de la tablette, et saisit un miroir qu'il arrête dans trois positions rapides, saccadées sur votre nuque, trois quarts arrière gauche, droite. C'est là qu'on mesure soudain l'étendue du désastre... Oui, même si c'est à peu près ce qu'on avait demandé, même si l'on avait très envie d'être coiffé plus court, chaque fois on avait oublié combien la coupe fraîche donne un air godiche. Et cette catastrophe est à entériner avec un tout petit oui oui, un assentiment douloureux qu'il faut hypocritement décliner dans un battement de paupières approbateur, une oscillation du chef, parfois un "c'est parfait" qui vous met au supplice. Il faut payer pour ça."


(commenté le 12/03/2004)
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 16:10

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SAN-ANTONIO
LE STANDINGE
     Le Savoir-Vivre selon Bérurier

 
Bon ben voilà, j'ai enfin fait la connaissance du fameux commissaire San-A, "sanchopansé" par Bérurier, le Gros, l'Hénorme, ogre débonnaire, mal dégrossi mais bon vivant, gros dégueulasse philosophe à ses heures, sans qui la série San-Antonio ne serait probablement pas ce qu'elle est, car c'est bien lui qui anime le roman de toute sa grossière personne au verbe plus qu'imagé.
Pour avoir une idée du style littéraire, il suffit de se reporter aux titres constituant la série San-Antonio, c'est calembours à gogo dans un registre de langue savamment grossier (vraiment très fort sur ce point, l'auteur, une maîtrise de la langue française épatante, car le grossier, il l'utilise pour Béru, mais il démontre ailleurs qu'il peut tout à fait écrire en langage soutenu), c'est de la déconnade à toutes les pages, bref c'est bon enfant, coquin et croustillant à la fois.
 
Dans Le Standinge, Frédéric Dard met en scène Bérurier dans le rôle d'un professeur de savoir-vivre dont les cours sont censés édifier les futurs officiers de police. Mon choix pour ce titre s'est fait par rapport au contraste que présentaient justement les règles des bonnes manières, et tout le côté grossier de Béru. La rencontre des deux s'annonçait explosive, et je ne me suis pas trompée.
 
Explosif, drôle, ironique et jouissif, âmes sensibles et pudiques s'abstenir, pour public averti uniquement .
C'est mon premier San-Antonio, je tenais à en lire un pour voir de quoi il en retournait exactement et je ne suis pas déçue, cependant, je ne pense pas en lire d'autres car ma curiosité est satisfaite, et même si j'ai passé un bon moment, je pense me lasser de ce style à la longue.


(commenté le 26/02/2006)
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