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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 13:47

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EL LABERINTO DE LAS ACEITUNAS
 
(LE LABYRINTHE AUX OLIVES)
 

Une parodie de polar aux senteurs Austin Powers avec la caricature type du anti-héros (déjà il sort de l'asile...) entraîné malgré lui dans une enquête loufoque à Barcelone. C'est drôle mais la multitude d'événements qui se suivent dans un rythme effréné lasse au bout d'un moment, on a l'impression qu'il n'y a pas de fil directeur et que les situations surgissent au gré de l'auteur de façon un peu chaotiques. Ca fait certainement partie de la parodie et explique peut être le titre mais ça ne m'a pas convaincu. J'en essaierai un autre de lui cela dit (plus tard, bien plus tard).


(commenté le 30/11/2003)

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23 mars 2008 7 23 /03 /mars /2008 16:24

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TOUTE UNE VIE BIEN RATEE
 
(2ème volet d'une trilogie intitulée Une histoire)
 
Meme sentiment qu'avec Je ne suis pas un héros, meme commentaire!


(commenté le 12/12/2004)
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23 mars 2008 7 23 /03 /mars /2008 16:22

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JE NE SUIS PAS UN HEROS
 
(premier volet d'une trilogie intitulée Une histoire)
 
Un auteur que j'ai récemment découvert et que je vais garder dans mes petits carnets! Il manie la langue française avec brio, c'est un vrai plaisir de le lire, et on ressent immédiatement de la sympathie pour lui, rien qu'en lisant l'extrait d'un de ses textes à la 4è page de couv'. Il a en effet un regard particulier, une approche et des réflexions inattendues sur ces choses de la vie, du quotidien, qui font de lui un original plutôt drôle, un pessimiste "combatif", il se dégage de ses récits quelque chose de décalé, fou, désinvolte, tendre et enchanteur, j'ai trouvé certains textes même excellents.


(commenté le 03/04/2004)
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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 15:53

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LE PLUS PETIT ZOO DU MONDE
 
 
Des nouvelles plus étranges que drôles, surprenantes mais pas forcément uniquement dans le bon sens, décalées, frôlant parfois le malsain mais pas forcément pervers, bref lecture très bizarre, mais pas forcément totalement désagréable. C'est vraiment l'impression qui ressort quand je repense à ce livre. Les chutes sont aussi assez déstabilisantes. J'ai un souvenir particulièrement mémorable de la nouvelle "La vache" et "Le chien de traîneau".
 
C'est, pour résumé, un auteur et un univers intrigant, on s'en méfierai presque, mais je suis assez curieuse de lire autre chose de lui pour m'en faire une idée plus claire.


(commenté le 25/11/2005)
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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 21:57

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A YEAR IN THE MERDE
 
( GOD SAVE LA FRANCE )
 
 
"Histoire d'un succès : Stephen Clarke, journaliste installé en France depuis dix ans, écrit un petit " guide de survie " à l'usage de ses compatriotes en exil. Il imprime l'ouvrage à deux cents exemplaires, le met en vente sur son site Internet et le livre lui-même à domicile. Le bouche à oreille faisant son œuvre, le texte est remarqué par quelques libraires et journalistes, et s'écoule à plusieurs milliers d'exemplaires à Paris avant qu'un éditeur anglais en acquière les droits. Le livre devient un best-seller au Royaume-Uni. Il doit aujourd'hui paraître dans seize pays. Stephen Clarke travaille à la suite des aventures de Paul West. "
 
 
L'histoire : Paul West est un jeune cadre dynamique anglais qui vient de décrocher un contrat d'un an dans une société de l'agro-alimentaire à Paris. Sa mission : mettre en place un projet de salon de thé à la british. C'est dans ce contexte très propice à la mise en évidence des différences socio-culturelles franco-britanniques que le narrateur va décrire toutes ses péripéties pour survivre sur la terre hostile parisienne. Cela va de la merde canine sur tous les trottoirs, aux grèves-surprises à gogo de toutes les catégories professionnelles existantes (les porn-stars françaises inclus...).
 
Si le début s'annonce fort divertissant et les situations drôlissimes (les premiers pas du narrateur dans la grande ville, la découverte des règles de survie parisiennes non-écrites, les relations avec ses collègues de travail, les problèmes de communication dûs à la langue (hilarant)), l'auteur s'embourbe par la suite dans des aventures qui mélangent à la fois - et là votre shaker est le bienvenue - histoires au-dessous de la ceinture et complots politico-économiques. Tout cela est un peu tiré par les cheveux (mais bon, faut bien une trame quelconque), et ça devient rapidement dénué d'intérêt.
 
Plus une peinture critique de la société parisienne que de la France au sens large (c'est bien dommage que l'auteur ne le souligne nulle part et que son portrait de la France n'est en fait qu'une caricature de Paris au pire de sa forme), c'est une expérience somme toute commune à tout étranger dans une ville qui n'est pas la sienne, avec ses étapes d'adaptation, ses vérités, son (gros) lot de clichés, et ses exagérations, sans grande originalité, mais divertissant malgré tout.
 
J'ai préféré de loin Me Talk Pretty One Day (Je parler français) de David Sedaris (un américain) et Les français aussi ont un accent de Jean-Benôit Nadeau (un québécois) dans le genre "mes aventures en France" ou "vous voulez mon point de vue sur les français?"


(commenté le 05/03/2006)
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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 21:42

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FINDING MYSELF
 
( QUI A PEUR DE VICTORIA ABOUT? )
 
 
 
4è page de couv':
"Qui a peur de Victoria About ? Vingt-sept ans et déjà plusieurs best-sellers à son actif, cette romancière anglaise égocentrique et vaniteuse décide de créer l’événement en poussant l’auto-fiction à son paroxysme. Inspirée par La promenade au phare de Virginia Woolf, Victoria, avec l’aide de Simona son éditrice et confidente, parvient à réunir dans une maison de bord de mer louée à cet effet, pour un mois, une dizaine de personnes choisies avec soin. Son objectif est de rédiger un roman en direct live, une sorte de reality-fiction qui évoluera au fil du séjour. Les différents protagonistes ainsi rassemblés seront épiés et leur quotidien deviendra alors le sujet de la narration.

Victoria, somme toute amorale, a plus d’un tour dans son sac. En vue d’espionner les invités, elle place des caméras dans les chambres et autres points stratégiques de la maison. Elle installe les écrans dans le grenier. Aussi plus rien ne lui échappe…hormis l’entreprise en elle même.
Les journées se succèdent languissantes et sans surprise. Rien ne se passe comme prévu. Victoria excédée par la platitude des faits décide de passer au plan B. Mais elle sous-estime ses invités, devenus ses adversaires. Un faux-pas qui lui coûtera cher et dont elle ne sortira pas indemne…

Une caricature – genre postmoderne – de la chick-litt . Rédigé sous forme de manuscrit annoté, ce roman se lit comme un texte interactif et novateur, sous forme de huis clos victorien. Toby Litt nous livre un texte original, moderne, accompagné d'une réflexion brillante sur l'écriture du roman contemporain (il y a de nombreux clin œil aux romans victoriens, à Agatha Christie et surtout un bel hommage à Virginia Woolf). "

 
 
Un roman sur lequel je suis tombée par hasard et qui m'a attirée par ses pages annotées et barrées sans scrupules par une éditrice fictive (excellent!). Un roman prometteur, qui a tenu pour moi ses promesses jusqu'au 3/4 du livre mais qui a fini par partir en vrille (à mon avis) vers le dernier quart, où on finit par s'essouffler par la tournure que prend les événements.
 
J'ai beaucoup aimé cela dit, c'est so British déjà, très drôle et original dans son concept (cf la 4è page de couv'), cela dit j'ai dû manquer pas mal de références littéraires (en particulier sur Virgina Woolf) et c'est bien dommage car elles devaient apporter la lumière sur pas mal d'aspects de ce roman. J'ai beaucoup aimé les personnages de Victoria, l'écrivain, et de son éditrice Simona, un vrai tandem humoristique à elles seules, en particulier dans ce qui est laissé transparaître de leurs rapports professionnels. Les autres personnages sont moins attachants, ce qui a beaucoup joué sur ma lassitude de la fin, et je trouve dommage que l'auteur ait ajouté cet épisode du fantôme qui ôtait tout réalisme à l'histoire du coup, mais bon, c'est là où je parle de références littéraires probablement importantes pour apprécier certains aspects du roman. Autre bémol, j'attendais plus de la réaction des invités, à qui avaient été donné le droit de s'exprimer sur ce projet à la fin du livre.
 
Un très bon moment de lecture très divertissant cela dit, qui me donne envie de lire d'autres romans de l'auteur.


(commenté le 30/12/2006)
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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 21:20

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GODE BLESSE
 

Drôle, divertissant, un peu façon Le petit Nicolas à la québécoise (origine de l'auteur), ça c’est pour les propos tenus et surtout la façon de les exprimer - qui serait d'ailleurs plus façon "petit frère du petit Nicolas"... J’avais d’ailleurs peur de ne plus savoir parler français à l’issue de la lecture. Un passage qui illustre un peu le contenu et "justifie" le style du narrateur:

"Moi je rêve beaucoup de ça devenir écrivain. Mais je vois pas bien que ça pourrait être possible parce que j'écris n'importe quoi qui passe dans ma tête et à cause de ma paresse qui est très très grande, je peux même pas rien corriger. En plus jamais j'accepterais que quelqu'un je sais même pas qui, il se permette de me dire comment faut écrire ci ou ça. Ponctuation subjonctif des verbes et tous des trucs que moi je m'en fous pas mal. Sauf l'orthographe et encore. Pour moi c'est pas ça l'important. Et pourtant pour beaucoup d'autres gens, c'est ça l'important pour eux."

Enfin il y a un aspect Petit Nicolas donc, mais aussi Grand Nicolas puisque le narrateur raconte des épisodes de sa vie adulte également (jusqu’à vers les 20 ans et majoritairement des épisodes de sa vie sexuelle), mais toujours avec des propos naïfs, limite simplet parfois, emprunts de vérité et de bon sens mine de rien, et souvent hilarants.

Bref un livre de 150 pages qui se dévore presque.


(commenté le 08/02/2004)

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