Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:32
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:29



LA CONDITION HUMAINE
 
( MAN'S FATE )
 
( LA CONDICION HUMANA )
 
 
Amazon.fr
"Troisième et dernier roman du cycle asiatique de Malraux, après "Les conquérants" (1928) et "La voie royale" (1930). Le destin douloureux de trois révolutionnaires communistes dans une Chine qui s'éveille, à Shanghaï, en 1927. Un livre aux prises avec l'Histoire, dans lequel le questionnement philosophique s'associe à l'interrogation politique."
 
 
Un auteur qui m'attire depuis des années, un titre prometteur, une couverture alléchante, une 4è page de couv' qui annonce un récit vibrant et  transcendant, qui évoque valeurs humaines, grandeur, dignité, lutte d'une humanité pour des grandes causes, fraternité, sens de la vie (que des thèmes qui me parlent quoi), et là, dans un élan et un besoin de retour aux classiques, je me lance et pfffzzziou (bruit d'un truc qui chute), la dé-cep-tion totale.
 
Il est vrai que je ne m'attendais pas à cette histoire, ce contexte, enfin surtout ce thème précis d'une lutte révolutionnaire où, entre autres, le terrorisme est justifié du point de vue de ses acteurs, ce qui ne m'a pas beaucoup aidé à l'immersion dans ce roman. Je m'attendais aussi à autre chose en plus, à une autre dimension dans ce récit, je ne sais pas quoi exactement, mais quelque chose de plus en phase avec le titre peut-être.
 
Mais en dehors du thème, c'est le style même de l'auteur qui m'a presque complètement rebuté. Il écrit bien, très bien même, mais trop bien peut-être, comme quelque chose de trop étudié, trop soigné, pour que ses lignes véhiculent chez moi un quelconque sentiment. Du coup je n'ai jamais été sensibilisé une seule seconde par les événements dépeints.
Il y a, tout le long du roman, des phrases telles que :
"Les yeux fermés, porté par de grandes ailes immobiles, Gisors contemplait sa solitude : une désolation qui rejoignait le divin en même temps que s'élargissait jusqu'à l'infini ce sillage de sérénité qui recouvrait doucement les profondeurs de la mort".
Magnifique, certes, mais moi ça ne me touche pas, ça me fait un peu l'effet "poésie" à laquelle je suis totalement insensible comme tout le monde sait (enfin je ne parle pas de tous les poèmes non plus, certains savent me toucher quand même)... Et donc, ça m'ennuie ce genre de lecture, j'ai même dû lire largement en diagonale dès la moitié du livre et sauter des pages pour arriver à la fin, pour ne pas complètement abandonner.
 
Mais bon, dirons-nous, ce n'est tout simplement pas un livre fait pour moi, il a ses lecteurs et sa place dans la littérature mondiale, tant mieux tant mieux, et je le comprends tout à fait par ailleurs. C'est le genre de livre aussi qu'il faut prendre le temps de lire, je crois, savourer chaque phrase, pondérer chaque ligne, etc. Mais je ne le retenterai pas pour voir si j'ai des révélations en le lisant de cette manière. Je suis déjà ravie de l'avoir "lu" pour combler une partie de mon inculture!


(commenté le 14/05/2006)
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:25
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:22



JOCONDE JUSQU'A 100


Comme je viens de me procurer à la bib' Da Vinci Code de Dan Brown, il m'est revenu en mémoire ce titre et cet auteur dont on m'avait parlé y a pas longtemps pour l'humour ravageur. Je l'ai pas encore lu, juste feuilleté à la Fnac, et maintenant que j'm'y connais en OULIPO, en y repensant je m'étais dit : "mais en voilà un auteur qui pourrait en faire partie!!" J'ai vérifié et bingo! il est dans la liste!
 
Pour le thème, c'est 99 + 1 points de vue sur Mona Lisa.
 
ou encore : http://perso.wanadoo.fr/calounet/extraits/joconde_letellier.htm (très bon site d'une connaissance au passage)


(commenté le 27/08/2004)
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:16
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:13



MANUEL DE LA PHOTO RATEE


Cadeau idéal pour les amateurs de photo, en tout cas il vaut le coup d'oeil tellement c'est drôle, souvenirs de vacances, photos en famille, entre amis, etc, qui n'a jamais raté de photos de sa vie?! Bon, mise à part la panoplie d'exemples dont nous régale l'auteur, son but n'est pas tant de nous montrer comment rater une photo mais plutôt de nous expliquer les raisons techniques de ces petits ratés. En suivant le mode d'emploi à l'envers, on devrait bien tous devenir pro!!
 
Je n'ai pas trouvé d'extraits de photos sur le net, par contre le site suivant s'en inspire, c'est très drôle, et pis ci-dessous je vous recopie la table des matières, ça vous donne déjà une idée du contenu:
 
http://mtlm.blogs.com/photos/photo_ratee/index.html 


Introduction


Première partie : L'appareil


1. Les flous
- Le bougé
- Le flou sur le sujet
- Le flou + bougé


2. Les qualités de lumière
- La sous-exposition
- La sur-exposition
- Le contre-jour
- L'effet grisé


3. Les cas particuliers
- La photo altérée
- La photo trouvée
- La photo grillée
- L'amorce


4. Le cadrage
- La photo aléatoire
- La road-photo
- La photo de loin
- L'action-photo
- Le cadre dans la photo
- La photo sans recul
- La photo originale


5. L' intervention dans l'image
- Le doigt devant
- La photo avec objet interposé
- La photo avec objet passant dans le champ


Deuxième partie : Le sujet


1. Les actions et attitudes
- La photo triste
- La photo de fête
- La photo avec portée
- La photo drôle


2. Le personnage
- La photo-absence
- La photo camouflage
- La photo confuse
- La photo texte


3. Le portrait
- L'air bête
- Enfant triste
- Déformation du sujet
- Tête coupée
- Yeux rouges
- La photo avec gêne


Conclusion


(commenté le 27/08/2004)
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 21:03
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 20:36
Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 20:33



DESERT
 

L’histoire (4è page de couv’) :
« La toute jeune Lalla a pour ancêtre les « hommes bleus », guerriers du désert saharien. Elle vit dans un bidonville, mais ne peut les oublier. La puissance de la nature et des légendes, son amour pour le Hartani, un jeune berger muet, une évasion manquée vers « leur » désert, l’exil à Marseille, tout cela ne peut que durcir son âme lumineuse. Lalla a beau travailler dans un hôtel de passe, être enceinte, devenir une cover-girl célèbre, rien n’éteint sa foi religieuse et sa passion du désert. » 


C’est un hymne à la nature, plus particulièrement au désert (forcément) et tout ce qu’il peut évoquer pour les peuples de ces régions, la lumière, la liberté, la mémoire de leur passé, de leur ancêtres, de leurs origines, de leurs racines. C’est une écriture simple d’où se dégage pourtant quelque chose de poétique, d’onirique, d’obsédant, et qui donne au récit une qualité de conte venu d’ailleurs.

Je n’ai malheureusement pas été complètement charmée par ce roman, les longues descriptions de l’environnement, des moindres faits et gestes d’un individu (il se lève, regarde à gauche, puis à droite, avance le pied, hésite, pour finalement se rasseoir…(j’invente et j’exagère (à peine), c’est juste pour illustrer mon propos)) me lassent au bout d’un moment et cette sensation de lassitude m’empêche d’apprécier l’histoire et prend le dessus sur tout le reste après…

Et tout le reste, c'est qu'à la fin du livre,
 on réalise bien que c’est un récit remarquable et touchant, même si ce n’est pas trop mon genre. Ou alors il faut être disposé à une lecture tranquille, sans "action" à proprement parler, prendre le temps de lire et d'apprécier tout ce travail autour de la restitution de tout une atmosphère, de toute la mémoire d'un peuple, de tout un paysage. Le style en lui-même évoque très bien le calme et la majesté du désert et de son peuple.


(commenté le 12/03/2004)

Partager cet article
Repost0
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 20:31
Partager cet article
Repost0

LECTURES EN COURS

                    ooops.jpg 

Recherche

ET POURQUOI PAS ?

 Lubie littérature grecque  Challenge Contes

 challenge-iles.jpg  Lire-sous-la-contrainte.jpg

Le Grenier