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Quelques recommandations pratiques si vous vous décidez à aller voir cette exposition qui se tient au Musée du Quai Branly jusqu'au 30 septembre, surtout en début de soirée, au sortir du boulot :
1) soit vous vous blindez bien l'estomac le midi (privilégiez les pâtes et autres sucres lents à la redoutable efficacité 48 heures des déodorants Narta).
2) soit vous réfléchissez à l'avance à un restaurant (pas forcément dans le coin car la réflexion pourrait être longue) où clôturer cette exposition en beauté.
Ceci vous évitera quelques rugissements et plaintes sonores de votre estomac qui n'hésitera pas à vous prendre en traître si vous le soumettez, sans crier gare, aux descriptions des mets les plus appétissants qui égayèrent les banquets de nos gourmets chinois.
Je comptais faire un rapport béton de cette exposition originale qui m'a beaucoup plu mais le temps m'a fait défaut, aussi je vous renvoie à l'excellent compte-rendu de Loo (pas taper ) avec qui j'ai eu le plaisir de profiter de ce voyage culturel dans le temps, et qui en dit l'essentiel et davantage encore !
Pour ma part, à froid, j'ai retenu que, fut un temps, en Chine, l'ivresse était un signe d'élégance et que la patte d'ours ne pouvait se manger qu'après avoir ranci deux ans ! (moi je retiens l'essentiel dans les expos )
Sans parler du Ministère des Nourritures qui existait 1000 ans av. J.-C. !
Aah ! Et encore plus vif dans ma tête et dans mon estomac, cet ex-cel-len-tis-sime canard laqué dans sa sauce au tamarin (hmmmm...) et je ne sais plus quelles autres tueries, que nous avons honoré dans un restaurant thai découvert complètement par hasard après l'exposition.
Mmmh... oserais-je intégrer ceci au ?